Rappel des événements:
– le 6 février 2014 : effondrement d’un pied de voûte côté nord.
– 27 mars 2014 : après fermeture des 2 bas-côtés, réouverture de l’église.
– septembre 2014 : un architecte est missionné pour expertise, étude diagnostic et faisabilité pour la restauration.
– 11 décembre 2015 : remise du rapport et explication de l’architecte à l’ensemble de la sous-commission église et au conseil municipal : l’étude révèle des désordres apparents sur différentes parties de l’édifice et préconise des travaux d’urgence, prioritaires et secondaires, estimé à 1 million d’euros.
Le travail consiste maintenant à prioriser les travaux, en fonction du budget et de réaliser un montage financier, tenant compte également de quelques subventions.
Toutefois quelques travaux de nettoyage et mise en sécurité de l’édifice ont été réalisés par une entreprise cordiste en mai et décembre 2015, et ont permis de sécuriser mais aussi de stopper les infiltrations d’eau.
La vétusté et les défauts constatés sur ces couvertures, sont la cause de l’humidité dans les maçonneries hautes (pierre de taille, moellons et briques) ayant entraîné l’effondrement de la voûte du bas-côté nord.
Le mauvais état de certains ouvrages de couvertures et des zingueries, combiné aux désordres de structures (arc-boutant, contrefort, mur gouttereau en partie haute) est responsable d’une partie des désordres constatés à l’intérieur de l’édifice, notamment de l’effondrement de la voûte du bas-côté nord.
L’étude diagnostic permet les relevés des désordres apparents et une analyse technique concernant les ouvrages ci-dessous :
– couvertures en ardoises et zinc, ouvrages d’étanchéité
– abat-sons, vitraux, paratonnerre
– maçonneries et structures
– charpentes
L’ordre de priorité des interventions à prévoir à court et moyen terme pour sauvegarder l’édifice serait de :
– travaux de mise en sécurité et d’urgence
– travaux à caractère prioritaire